Le circuit de Montlambert avec Jaco-Rando
Randonnée du 6 décembre 2023
Coucou, c’est moi, Pierre !
Mais si, vous vous souvenez ?, Pierre, de « MontagnedePierre » !
Je n’ai pas été très productif sur ce blog cette année... ! Pas grand’chose à dire, pas d’idée, et aussi surtout beaucoup de flemme... !!!
Faut dire aussi que j’avais créé ce blog pour raconter mes balades en montagne et ailleurs. Il se trouve que cette année a été un (très) mauvais cru dans ce domaine.
La gamelle à ski en janvier, la cabriole à vélo en mai et pour finir « la pierre qui roule sous Pierre qui roule » et qui se vautre dans le chemin creux en juin (voir précédente publication), toutes ces péripéties n’ont pas été favorables à une bonne saison et le bilan en nombre de sorties est à 50% par rapport à l’année précédente !
J’ai quand même réalisé quelques belles sorties, en famille ou avec le club de rando et pour reprendre mes publications, je vous narre aujourd’hui une petite balade réalisée il y a peu avec le club « Jaco-Rando »
La météo était exécrable depuis plusieurs jours et cela n’allait pas s’arranger dans les jours à venir, mais une fenêtre météo de beau temps se profilait un seul jour de la semaine.
Yves, l'animateur du club chargé de la rando cette semaine a décidé de décaler le jour de sortie.
« Bingo », c’était LE jour où il fallait sortir !
Au départ de Saint Jean de La Porte, non loin de Saint Pierre d’Albigny en Combe de Savoie, l’itinéraire choisi nous a emmené sur le piémont des Bauges. Tout d’abord par un chemin suivant des digues dans la plaine de l’Isère, juste sortie de crue, puis à travers les vignes, nous gagnons la forêt où nous attend une grimpée assez raide jusqu’au hameau de Montlambert niché sur un plateau à mi-hauteur sous le Mont Charvey.
Dominé par la Dent d’Arclusaz, étincelante de neige, avec une vue splendide sur la Combe de Savoie, le massif de Belledonne, les Hurtières, le massif du Grand Arc et en arrière-plan le Beaufortain adossé au Mont Blanc, le plateau où nous faisons la pause casse-croûte se trouve à la limite de la neige.
En observant les parapentistes disciples d’Icare s’envoler vers la vallée, on peut voir le Mont Blanc coiffé de « l’âne », système nuageux caractéristique annonciateur de mauvais temps, selon les chamoniards « pur jus » ! (c’est vrai que le lendemain il a fait un temps épouvantable)
La descente rapide « à la mode sanglier » devait nous ramener vers notre point de départ.
Mais notre guide du jour s’étant quelque peu égaré, nous nous retrouvons finalement dans une cave avec des grandes cuves et un comptoir couvert de verres... !!! Bizarre... !!!
Plus d’images avec la petite vidéo :